En 2020, de nombreuses personnes sont tombées sans emploi du jour au lendemain. Elles se sont retrouvées dans une situation où elles ont dû agir rapidement, sans avoir eu l’occasion de planifier le tout. Pour certains d’entre eux, la crise est devenue une opportunité de changement de carrière. C’est le cas de Sylvian, Mireille et Mario, maintenant employés chez Gardium, avec qui nous nous sommes entretenus.

Quelle était votre occupation avant la crise? Et depuis combien de temps faisiez-vous ce métier?

Sylvian Nique, Gestionnaire d’équipe (conflits de travail)
J’étais vendeur en boutique pour un fournisseur de services de téléphonie depuis six ans.

Mireille O’Sullivan, Agente de sécurité (contrôle d’accès)
Avant la crise, j’étais gérante dans une boutique d’articles de sport à Laval. J’occupais ce rôle depuis près de quatre ans, mais j’y ai travaillé une dizaine d’années au total.

Mario Guido, Chef d’équipe
J’ai fait beaucoup de métiers avant la crise. Le dernier était cariste, un rôle que j’ai occupé durant un an et demi.

Qu’est-ce qui vous a mené vers le milieu de la sécurité?

SN
J’ai travaillé en sécurité il y a 23 ans pour le Groupe Avant-Garde (qui a depuis été acquis par Gardium). Lors de la première vague, les boutiques ont fermé et tous les employés ont dû arrêter de travailler. Une chose était certaine: je ne voulais pas rester longtemps sur la prestation canadienne d’urgence (PCU)! Après deux semaines, je n’en pouvais déjà plus! Mon beau-père, qui est employé de Gardium, m’a dit qu’ils cherchaient du personnel. J’ai sauté sur l’occasion.

MO
J’étais à la recherche de nouveaux défis puisque la boutique où je travaillais a dû fermer. Une personne de ma famille m’a suggéré de rejoindre Gardium, étant elle-même employé. J’ai soumis ma candidature et j’ai rapidement été contactée. Rejoindre une entreprise dans ce domaine, c’est comme un amour de jeunesse, car j’ai déjà eu le désir d’étudier en techniques policières.

MG
L’entreprise où je travaillais a graduellement réduit ses effectifs avant de complètement fermer ses portes le temps que la situation se calme durant la première vague. Le domaine de la sécurité était un plan de carrière que j’avais depuis plusieurs années. J’en parlais depuis 10 à 15 ans, mais ça n’avait jamais adonné. Ma conjointe a complété la formation en sécurité tout juste avant le début de la pandémie. Dès qu’elle a terminé son cours, elle a obtenu un poste chez Gardium. En voyant qu’il y avait des besoins à court terme pour des postes demandant un permis temporaire, j’ai saisi ma chance.

Au moment de rejoindre Gardium, pensiez-vous que la sécurité deviendrait votre quotidien et votre nouvelle carrière?

SN
Non, je pensais travailler dans le domaine de la sécurité jusqu’à ce que les boutiques rouvrent, puisque j’étais un très bon vendeur. À la réouverture, je suis retourné en vente et ça n’a duré que deux semaines avant que je donne ma démission. Je m’ennuyais trop de la sécurité!

MO
Rapidement, j’ai su que ça deviendrait ma nouvelle carrière. Après seulement deux semaines, j’ai décidé que je resterais à long terme. Ç’a été comme un coup de foudre! Après tout, ayant étudié en travail social, cet emploi rejoint à la fois mes études et mon ancien travail par le contact humain et l’approche de service à la clientèle.

MG
Dès le début, j’avais une bonne idée que ça deviendrait ma carrière, étant donné que je l’avais déjà considérée plus jeune. Au moment de la crise, j’ai eu une opportunité et je l’ai prise à deux mains! Je voulais faire carrière dans le domaine et la porte s’est ouverte. Après seulement deux mois en sécurité, je savais déjà que je ne retournerais pas à mon ancien métier.

Qu’est-ce qui vous motive le plus dans vos nouvelles fonctions?

SN
Résoudre des problèmes. Que ça prenne quelques heures ou même quelques jours, c’est ce qui me stimule le plus.

MO
J’aime être présente pour la population et exercer un service essentiel. Mon premier mandat a été dans une résidence pour personnes âgées. Les résidents sont venus me chercher. Nous étions les seules personnes qu’ils pouvaient côtoyer dans une journée. Nous devions les protéger, mais aussi les réconforter. Être là pour les gens et créer des liens, c’est ça qui me motive!

MG
Un peu de tout. Au début, j’étais chef d’équipe pour les agents temporaires, principalement ceux sur les sites de dépistage. J’effectuais de la surveillance et de l’attribution de postes. Maintenant, j’ai plus de tâches administratives à faire, mais aussi des rondes et des inspections. J’aime bien avoir plus de responsabilités.

Est-ce qu’il y a quelque chose qui vous manque de votre ancienne carrière?

SN
Les gens avec qui je travaillais. J’avais une belle équipe de travail. Heureusement, je suis très bien entouré ici aussi!

MO
Personnellement, non. En revanche, je constate que mon ancienne carrière m’a apporté un bagage qui joue beaucoup dans mes interactions avec les gens et dans la façon dont j’exerce mon nouveau métier.

MG
En tant que tel, non! (rires). Ce n’était pas un mauvais emploi. Mes principales tâches étaient de charger et de décharger les camions de livraison. Mes nouvelles tâches sont donc un peu plus variées.

Si c’était à refaire, que feriez-vous de différent?

SN
J’aurais sûrement fait le saut plus tôt. La crise a eu l’effet d’un coup de pied qui m’a poussé à agir.

MO
J’aurais commencé plus jeune! J’aurais suivi ma formation en sécurité à la sortie du secondaire.

MG
La seule chose, c’est que je serais allé suivre le cours bien avant!

Que diriez-vous à un proche pour le convaincre de rejoindre Gardium?

SN
S’il se joignait à mon équipe, je pourrais être son patron! (rires)

MO
Gardium est comme une grosse famille. Tu ne te sens pas comme un numéro. Les gestionnaires sont à l’écoute, ils sont là pour nous et répondent à toutes les questions qu’on peut avoir. Ils comprennent bien que, quand on a de bons patrons, les employés sont plus efficaces. Ils sont au cœur de ce que les employés veulent et nous offrent une belle flexibilité, notamment par rapport aux horaires.

MG
Travailler ici amène une belle stabilité. Et en plus, nous ne sommes pas traités comme des numéros, ce qui n’est pas le cas partout. Ça fait toute la différence!

Quelles sont vos aspirations pour la suite des choses?

SN
Je veux terminer ma carrière ici! Je vais tout faire et donner tout ce que je peux pour que la compagnie évolue et qu’elle poursuive sa croissance.

MO
J’aimerais monter plus haut, gravir les échelons et découvrir de nouveaux aspects de la sécurité.

MG
J’aime bien le poste que j’ai présentement. Je pourrais très bien le garder ad vitam æternam. Je souhaite faire le maximum que je peux à ce poste-là. Cependant, si l’occasion se présente, je suis ouvert à accepter un autre poste avec plus de responsabilités. Mais je suis bien où je suis.

Vous aussi, faire le saut vers une nouvelle carrière en sécurité vous intéresse? Nous sommes toujours à la recherche de nouveaux agents. Que ce soit pour en apprendre davantage sur la formation en sécurité ou pour soumettre votre candidature, visitez dès maintenant notre page Carrières.